Quand on veut trouver la bonne personne, il faut qu'elle réponde à certain nombre de critères.
Par exemple :
P1 : qu'elle soit sexuellement bonne ;
P2 : qu'elle participe au travail et aux activités de loisirs ;
P3 : qu'elle soit petite ;
P4 : qu'elle soit brune ;
P5 : qu'elle soit fidèle ;
...
Si nous mathématisons tout cela, nous nous retrouvons avec différentes portions de gaussiennes, avec un seuil minimum d'acceptation. Rien ne sert de dire "Chaque personne est différente." ou "Il y a des cons partout.", il y a des proportions différentes qui se modélisent par la fonction gaussienne, aussi connue sous le nom de "courbe en cloche".
Les gens sont tous différents, mais il y a des tendances ! Cliquez sur l'image pour mieux voir. Les statistiques valident ce que tout le monde sait : les Africains ont des grosses bites et les Asiatiques en ont des petites. Ceci dit, les bites c'est comme les seins : c'est pas forcément la taille qui compte, c'est surtout la façon dont on s'en sert ;-) .
Le fait est que tous les critères requis pour réussir une relation correspondent chacun à une probabilité, et que ces probabilités vont se multipler. Pour reprendre l'exemple d'au-dessus, la probabilité de trouver la bonne personne est le produit des probabilités P1, P2, P3, ... Pn. Si par exemple, un critère porte une probabilité très faible, mettons 5 %, ça va foutre en l'air la probabilité globale de trouver la bonne personne.
Et de toute évidence, les pays riches offrent de faibles probabilités en termes de fidélité. Il faut voir les choses en face : l'amour à vie se trouve dans les pays pauvres, et je suis prêt à aller au Cameroun ou en Grèce pour le trouver.
Si vous avez quelque chose à dire, n'hésitez pas à laisser un commentaire.
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